Sommaire du journal N°98 - Janvier/Février 2009
Chers lecteurs,
On sait que les régions françaises trop nombreuses, et pour beaucoup trop petites, par rapport aux régions espagnoles, italiennes ou aux landers allemands, manquent de visibilité, comme on dit, aux yeux de l'Europe. Fort de cet argument indéniable, Dominique Bussereau et Jean-Pierre Raffarin, amis inséparables depuis l'enfance, ont imaginé le scénario d'une fusion entre la région Poitou-Charentes et l'Aquitaine. Cette proposition, qu'ils ont faite au président de la République, ne manque pas de sens mais elle n'est pas dénuée d'arrière-pensée politique. Ce scénario de fusion risque, en effet, de voir la région Poitou-Charentes absorbée par sa grande sœur aquitaine, deux fois plus importante. On pourrait, dès lors, s'étonner que les deux élus picto-charentais acceptent délibérément de sacrifier leur région au nom des intérêts supérieurs de la nation, mais ce serait ignorer qu'il y aurait un avantage corollaire non négligeable à leurs yeux : celui de déstabiliser Ségolène Royal, qui semble indétrônable à la tête de la région Poitou-Charentes, et peut-être même de la voir éliminée politiquement au sein de cette grande région... A un an des élections régionales, les manœuvres commencent... ou continuent.
En attendant, loin de ces joutes politiciennes, les élus travaillent et les projets, on le verra dans ce journal, ne manquent pas. Les tracasseries non plus. C'est ainsi qu'on comprend difficilement l'attitude des services fiscaux qui s'obstinent à faire payer à la commune de Vaux des arrièrés de TVA sur les recettes de son camping pour 147 000 E ! Nous pensions – naïvement sans doute –, que l'Etat et les communes étant tous deux au service de la collectivité et des citoyens, le rôle du fisc n'était pas de faire rentrer de l'argent dans les caisses de l'Etat en le soutirant aux communes...
Toute l'équipe du journal se joint à moi pour vous souhaiter une très bonne année 2009.
On sait que les régions françaises trop nombreuses, et pour beaucoup trop petites, par rapport aux régions espagnoles, italiennes ou aux landers allemands, manquent de visibilité, comme on dit, aux yeux de l'Europe. Fort de cet argument indéniable, Dominique Bussereau et Jean-Pierre Raffarin, amis inséparables depuis l'enfance, ont imaginé le scénario d'une fusion entre la région Poitou-Charentes et l'Aquitaine. Cette proposition, qu'ils ont faite au président de la République, ne manque pas de sens mais elle n'est pas dénuée d'arrière-pensée politique. Ce scénario de fusion risque, en effet, de voir la région Poitou-Charentes absorbée par sa grande sœur aquitaine, deux fois plus importante. On pourrait, dès lors, s'étonner que les deux élus picto-charentais acceptent délibérément de sacrifier leur région au nom des intérêts supérieurs de la nation, mais ce serait ignorer qu'il y aurait un avantage corollaire non négligeable à leurs yeux : celui de déstabiliser Ségolène Royal, qui semble indétrônable à la tête de la région Poitou-Charentes, et peut-être même de la voir éliminée politiquement au sein de cette grande région... A un an des élections régionales, les manœuvres commencent... ou continuent.
En attendant, loin de ces joutes politiciennes, les élus travaillent et les projets, on le verra dans ce journal, ne manquent pas. Les tracasseries non plus. C'est ainsi qu'on comprend difficilement l'attitude des services fiscaux qui s'obstinent à faire payer à la commune de Vaux des arrièrés de TVA sur les recettes de son camping pour 147 000 E ! Nous pensions – naïvement sans doute –, que l'Etat et les communes étant tous deux au service de la collectivité et des citoyens, le rôle du fisc n'était pas de faire rentrer de l'argent dans les caisses de l'Etat en le soutirant aux communes...
Toute l'équipe du journal se joint à moi pour vous souhaiter une très bonne année 2009.
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Courrier des lecteurs
Françoise Brouard, maire sortant de Saint-Georges-de-Didonne et conseillère municipale pour la liste d’opposition «Aujourd’hui et demain», nous a fait parvenir un courrier concernant l’interview donnée par Jean-Marc Bouffard, le maire.